MERZHIN Marche et (C)rêve
Merzhin est de retour avec un 8ème album, de nouveau sans concession, d’une densité rare et ravageuse.
Enregistré dans le mythique studio ICP de Bruxelles par le londonien Drew Bang (déjà derrière la console des albums de Royal Blood ou U2), Marche et (C)Rêve est un puissant tournant artistique dans la carrière du groupe.
La production de cet album est tout à la fois massive et ciselée. Véritables court-métrages musicaux, les univers variés des compositions s'entremêlent, servies par une rythmique à la précision sans faille. Les guitares sont musclées et rageuses. Et pour autant, à l'instar des instruments à vent (absolue signature du groupe) les compositions sont mélodiquement habitées comme jamais.
Pour Marche et (C)Rêve, Merzhin est allé chercher au fond de lui, pour livrer un album profond, explosif, atmosphérique, à la charge émotionnelle intense. Cet album dystopique, noir, solaire, le plus puissant de sa longue carrière, est le cri astral et profond de ceux qui cherchent à (re)trouver notre seule richesse, l’humanisme.
Car Merzhin en est certain, le champ des possibles est infini et à portée de main pour peu que nous en prenions le chemin.
Enregistré dans le mythique studio ICP de Bruxelles par le londonien Drew Bang (déjà derrière la console des albums de Royal Blood ou U2), Marche et (C)Rêve est un puissant tournant artistique dans la carrière du groupe.
La production de cet album est tout à la fois massive et ciselée. Véritables court-métrages musicaux, les univers variés des compositions s'entremêlent, servies par une rythmique à la précision sans faille. Les guitares sont musclées et rageuses. Et pour autant, à l'instar des instruments à vent (absolue signature du groupe) les compositions sont mélodiquement habitées comme jamais.
Pour Marche et (C)Rêve, Merzhin est allé chercher au fond de lui, pour livrer un album profond, explosif, atmosphérique, à la charge émotionnelle intense. Cet album dystopique, noir, solaire, le plus puissant de sa longue carrière, est le cri astral et profond de ceux qui cherchent à (re)trouver notre seule richesse, l’humanisme.
Car Merzhin en est certain, le champ des possibles est infini et à portée de main pour peu que nous en prenions le chemin.
Publié le
L&T Le 20/05/2022